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Gestion des coûts : Réduire les dépenses sans sacrifier la qualité

Dans un contexte économique qui change rapidement, il faut gérer les coûts avec efficacité pour préserver la compétitivité et les bénéfices des sociétés. Toutefois, il faut que la réduction des dépenses ne compromette pas la qualité, ce qui pourrait affecter négativement la satisfaction clientèle et l’image de la marque. Cet article discute de méthodes pratiques pour baisser les coûts sans sacrifier, et potentiellement même en rehaussant, la qualité des biens et services offerts.

Optimisation des opérations internes

Pour minimiser les coûts sans compromettre la qualité, l’amélioration continue des processus internes est primordiale. Cette démarche ne se contente pas de réduire les dépenses, elle accroît aussi l’efficacité de l’entreprise dans son ensemble.

La gestion méticuleuse des fournisseurs joue un rôle clé dans le contrôle des coûts d’approvisionnement. Des évaluations périodiques permettent de renégocier les prix tout en préservant la qualité des ressources acquises. Les audits réguliers offrent la possibilité de découvrir des moyens de diminuer les dépenses sans altérer la qualité. Par exemple, créer des marques propres pour des articles demandés peut améliorer les profits et réduire la dépendance envers des marques onéreuses. Si vous avez besoin d’aide, vous pouvez découvrir le site d’un professionnel pour vous guider dans cette démarche.

Parallèlement, l’optimisation des méthodes de production représente une stratégie efficace pour réduire les coûts. L’adoption de techniques de cuisson avancées, telles que la cuisson en gros volumes, peut réduire la consommation d’énergie tout en assurant une qualité constante des produits. Investir dans des innovations technologiques qui automatisent les processus répétitifs peut également entraîner une baisse significative des coûts de main-d’œuvre sur le long terme. En outre, un système de ventilation performant peut diminuer les dépenses énergétiques tout en améliorant le bien-être des employés et des clients. Ces approches intégrées et réfléchies garantissent une gestion des coûts efficace sans sacrifier la qualité, ce qui est essentiel pour le succès durable d’une entreprise.

Stratégies commerciales et relation client

Au-delà de l’optimisation des processus internes, les entreprises peuvent alléger leurs coûts en affinant leurs stratégies commerciales et en peaufinant la gestion des relations clients. Ces efforts peuvent accroître la fidélité client et stimuler les revenus sans engendrer de frais supplémentaires significatifs.

Les programmes de fidélité numériques constituent des leviers efficaces pour encourager la récurrence des achats et alléger les dépenses en marketing. En proposant des coupons pour des achats ultérieurs au lieu de remises directes, les sociétés sauvegardent leurs marges tout en motivant les clients à renouveler leurs achats. Organiser des événements promotionnels ciblés peut aussi booster les ventes totales et favoriser l’écoulement des surplus de stock.

En outre, la formation du personnel aux techniques de vente se révèle être une méthode pertinente pour accroître les ventes complémentaires sans frais additionnels. Ajuster les plannings selon l’affluence contribue à minimiser les périodes d’inactivité et à maximiser l’efficacité de la main-d’œuvre. L’installation de bornes de commande en libre-service peut aussi diminuer les erreurs de commande et le besoin en personnel, tout en rehaussant l’expérience clientèle. Ces stratégies, intégrées de manière fluide et cohérente, permettent de réduire les coûts tout en renforçant les relations avec les clients, un atout majeur pour la prospérité à long terme de l’entreprise.

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Relationnel : comprendre et entretenir vos fournisseur en restauration

Dans l’univers compétitif de la restauration, l’établissement de liens robustes et pérennes avec les fournisseurs est un levier crucial pour la qualité et la régularité des approvisionnements. La gestion des fournisseurs transcende la simple acquisition de marchandises pour inclure une stratégie intégrale de coopération, d’échange et de gestion active des échanges. Cet article se penche sur les stratégies optimales pour cultiver et affiner ces relations fournisseurs, tout en assurant une gestion efficace des coûts et de la sélection des produits.

Optimisation tarifaire et contrôle qualitatif des produits

La création d’une barème pour les produits représente un pivot fondamental dans la stabilisation des coûts et la planification budgétaire. Les articles courants tels que les denrées d’épicerie, les produits surgelés et les articles d’hygiène subissent des ajustements tarifaires moins fréquents comparativement aux produits périssables tels que les viandes, poissons, fruits et légumes.
Il s’avère pertinent de sélectionner les produits à intégrer dans cette liste de prix et de commencer des discussions avec les fournisseur restauration pour fixer des prix équitables et stables.
Même en présence de tarifs préétablis, il est possible que les prix connaissent des hausses soudaines dues à des variations économiques ou des modifications de la réglementation. Il est donc important pour le restaurateur, le directeur des achats ou le contrôleur financier de garder un œil attentif sur l’évolution des prix. Mettre en place des systèmes de suivi des prix peut aider à anticiper toute augmentation et à mettre en œuvre des stratégies adaptées pour maintenir la rentabilité de l’établissement.

 

Édification de partenariats fournisseurs durables

Les relations établies avec les fournisseurs sont un pilier central pour le succès des entreprises. Un partenariat solide et de qualité avec eux offre un avantage distinct sur le marché. Pour améliorer ces relations, il est nécessaire de prendre en compte divers éléments importants :

Renforcer les partenariats avec les fournisseurs est un processus dynamique qui commence par l’établissement d’un accord détaillé, clarifiant les attentes, les délais et les conditions financières, posant ainsi les jalons d’une relation profitable pour tous. Suivre de près la performance des fournisseurs et communiquer ouvertement les retours sont des étapes clés pour stimuler une amélioration constante.

Reconnaître le travail des prestataires et répondre rapidement aux problèmes dès leur apparition est essentiel pour bâtir une confiance mutuelle et une collaboration solide. S’assurer que les paiements sont effectués à temps est particulièrement bénéfique pour les PME, car cela favorise une relation stable et peut mener à des négociations tarifaires avantageuses.

Envisager les fournisseurs non pas comme de simples prestataires, mais comme des partenaires stratégiques, implique de s’engager dans leurs méthodes de travail et de comprendre leurs défis, ce qui contribue à forger des alliances pérennes. L’intégration de solutions logicielles dédiées à la gestion des relations avec les fournisseurs facilite grandement les échanges, le partage d’informations et l’évaluation des performances, consolidant ainsi les fondations d’un partenariat fructueux à long terme.

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Produit de saison : le choix des asperges locales

L’asperge est un légume fin et raffiné, qui pousse dans les régions tempérées. Elle se déguste de multiples façons, selon sa couleur et sa préparation. L’asperge est un aliment sain et bénéfique pour la santé, qui se récolte au printemps. Découvrons ensemble ce qui en fait le choix le plus prisé des produits de la saison.

Comment sont cultivées les asperges locales ?

Les asperges sont des légumes de saison, qui nécessitent plusieurs années de patience avant de les déguster. On peut les cultiver de deux façons : soit à partir de graines, soit à partir de couronnes. Les graines sont plus économiques, mais il faut attendre trois ans avant la première cueillette. Les couronnes sont des jeunes plants issus de semis, qui font gagner une année, mais qui sont plus délicats et plus onéreux.

Les asperges se mettent en terre dans un sol meuble, profond et enrichi de compost ou de fumier. Elles aiment le soleil et l’eau, mais sans excès. Elles se disposent en ligne, dans le sens du vent, avec des tuteurs pour les maintenir. On creuse une tranchée de 10 à 20 cm de profondeur, on place les griffes ou les graines au fond, tous les 50 à 60 cm, et on recouvre de terreau ou de bonne terre fine.

La première année, on ajoute 2 à 3 cm de terre sur les griffes. La seconde année, on augmente la couche de terre sur les griffes de 15 à 20 cm. La troisième année, on peut commencer la récolte, mais avec modération pour ne pas affaiblir le pied d’asperge. On cueille les asperges avec une gouge ou un long couteau, en tranchant le turion (le bourgeon) lorsqu’il sort du sol. On peut cueillir des asperges pendant 15 ans environ.

Pour trouver un producteur d’asperges autour de moi, je peux consulter les annuaires local, qui répertorie les fermes locales qui cultivent des asperges selon des méthodes respectueuses de l’environnement.

Pourquoi choisir d’acheter des produits d’asperges locaux ?

Comme nous l’avons déjà mentionné dans la première partie, les asperges locales sont des produits de saison, qui offrent de nombreux bénéfices pour la santé et pour l’environnement. En achetant des asperges locales, on encourage les producteurs de notre région, qui cultivent ce légume avec des méthodes durables et écologiques. On diminue aussi notre impact environnemental, en évitant le transport et le stockage des asperges importées.

Les asperges locales sont aussi plus fraîches et plus goûteuses que les asperges venues d’ailleurs. Elles préservent mieux leurs qualités nutritionnelles et leurs composés antioxydants, qui renforcent notre organisme contre les maladies chroniques. Les asperges sont riches en fibres, en vitamines (B9, K, C, E) et en minéraux (fer, cuivre, sélénium). Elles stimulent le transit intestinal, le drainage rénal et la détoxification du côlon.

Les asperges locales sont donc un choix intelligent pour se régaler tout en prenant soin de sa santé et de la planète. On peut les cuisiner de multiples façons, selon leur couleur et leur préparation : en salade, en gratin, en soupe ou à la sauce carbonara. Il suffit de les cueillir au bon moment, lorsqu’elles sont encore tendres et juteuses.

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Cocotte food tour à Reims : découvrez notre circuit

Reims est une ville située dans la région Champagne-Ardenne, célèbre pour ses vins de champagne et sa gastronomie locale. Pour découvrir les spécialités culinaires de la région, rien de mieux qu’une visite guidée avec Cocotte Food Tour. L’application d’aventures gourmandes : Cocotte Food Tour sera votre allier pour joindre l’utile à l’agréable.

 

 Les circuits incontournables avec food tour reims

 

Cocotte Food Tour est une entreprise spécialisée dans les visites gastronomiques guidées, trouver ici l’essentiel de l’offre. Les visite à Reims pour un food tour est une expérience inoubliable pour les amateurs de gastronomie et de vins singuliers. La visite commencera par une dégustation de champagne dans une cave historique de la ville. Le guide explique l’histoire du champagne et les différentes méthodes de production. Les participants apprennent à apprécier les nuances des différents champagnes et comment les marier avec la cuisine locale et les mets.

Ensuite, le groupe se dirige vers la célèbre place Drouet d’Erlon pour une dégustation de jambon de Reims. Le jambon de Reims est un jambon cuit en gelée, souvent servi en entrée. Il est fabriqué avec du porc de la région Champagne-Ardenne et est généralement accompagné de pain de campagne et de moutarde.

 

Les autres spécialités dans le food tour reims

 

Après la dégustation de jambon, il se peut que les participants se rendent dans une boulangerie locale pour déguster une spécialité de la région : la biscuit rose de Reims. Ce biscuit rose est fabriqué avec de la farine, du sucre et des œufs, et est souvent trempé dans du champagne ou du café. Il est parfait pour un petit-déjeuner ou un goûter. En acheter pour en faire des cadeaux sera l’astuce pour faire de la bouche à oreille par rapport à l’application Cocotte food tour à reims auprès de vos entourages.

Puis, le groupe de visiteur peut se rendre dans une boutique de chocolats locaux pour déguster des chocolats artisanaux fabriqués à partir de cacao de qualité supérieure. Les participants apprennent comment les chocolatiers locaux utilisent les ingrédients locaux pour créer des saveurs uniques.

Enfin, la visite pourra termine dans un restaurant local pour déguster un repas complet avec des plats traditionnels de la région. Le menu peut inclure des spécialités telles que le coq au vin, le boudin blanc et le cassoulet. Le guide recommande également des vins locaux pour accompagner chaque plat.

La visite avec Cocotte Food Tour est une expérience unique pour découvrir les saveurs et les traditions culinaires de la région Champagne-Ardenne. Les guides réels ou virtuels sont passionnés par la cuisine locale et connaissent bien les produits ainsi que les artisans locaux. Ils partagent leur passion avec les participants, créant une expérience authentique et mémorable !

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Retrouvez les produits régionaux hauts de France les plus incontournables pour des recettes savoureuses

La gastronomie du Nord est riche et extrêmement variée. Elle trouve sa source dans les grandes variétés de produits régionaux issus de la terre et de la mer.  Cette richesse a donné naissance à une multitude de spécialités délicieuses qui se dégustent en famille ou entre amis dans une ambiance chaleureuse et conviviale.  Retrouvez ci-après les produits régionaux qui font la renommée du Nord pour réaliser des plats savoureux.

La bière : l’une des grandes spécialités de la région Hauts de France

Dans les hauts de France, l’on dénombre plus d’une soixantaine de brasseries locales. Plusieurs produits de cette boisson emblématique de la région reçoivent chaque année des primes au concours général agricole. Le Nord abrite les meilleurs producteurs qui fabriquent les meilleures bières de France.   Pour trouver d’autres produits, visitez le site leshautsdelices.fr

 

Le Maroilles : le fromage emblématique du Nord

Fabriqué à partir de lait de vache appelée maroillaise, une race croisée de rouge flamande, le maroilles est une production fermière dont quelques producteurs seulement ont la maîtrise du processus de fabrication conforme à l’original.  C’est l’un des meilleurs fromages forts du terroir du Nord. C’est un véritable délice.

Le vieux Lille : le cousin du fameux Maroilles

Il s’agit aussi d’un autre fromage typique de la région qui est très proche du Maroilles. Le vieux Lille est également un fromage fort à pate souple et doux, sans trou. Ce fromage est idéal s’il est dégusté avec des boissons telles que les bières, les vins rouges, whiskies ou rhum.

Le carambar : une friandise pour tous

Destinée aux tous petits, cette friandise qu’est le carambar contient une blague sous  l’étiquette ou l’emballage. Quoi qu’il en soit, les adultes prendront volontairement plaisir à déguster le carambar avec différentes versions fruités ou au nougat.

La carotte de Tilques : pour des mets encore plus surprenants

Grace à ce produit typique de la région, il est possible de surprendre les invités. Il existe une multitude de recettes possibles pour réaliser des plats succulents avec la carotte de Tilques : mille-feuille de choux fleur et carotte de tilques à la crème de cresson, gâteau à la carotte, soupe de carotte de Tiques au lait, terrine de Baptistin, le soufflé de carotte…

Ce n’est qu’un petit aperçu des produits régionaux du Nord, il y en existe une longue liste à découvrir.

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Différentes recettes avec de la volaille de licques

Pour concocter les meilleurs plats lors des événements particuliers (baptêmes, mariages, anniversaires, fêtes…), la volaille de licques constitue une très bonne option. Elle comprend la dinde, le poulet, le chapon. Les invités seront plus que ravis de déguster les merveilleux plats à base de ces volailles avec une technique d’élevage bio et nature.

Cette note est consacrée à quelques suggestions de recettes à base de ces volailles labellisées, idéales pour les repas en famille, en groupe ou lors événements festifs.

Le Potjevleesch :

Il s’agit d’une spécialité traditionnelle et typique du Nord. Elle est originaire de Dunkerque. Ce plat est facile à faire et les ingrédients sont disponibles partout. Le potjevlesch est réalisé à base de viande de veau, du lapin et du poulet de licques. Ce plat délicieux est servi toujours avec de la frite et de la salade. Goûter à cette délicieuse spécialité du nord dans une ambiance conviviale en famille.

La Poularde de licques farcie au Genièvre :

Ce type de plat est classique, mais il s’adapte à tout événement festif ou familial. La réalisation est plus compliquée, mais la finalité en vaut la peine. Pour accroître son gout, c’est à la farce et aux ingrédients accessoires qu’il faut travailler. Il ne faut pas oublier le foie de canard dans les ingrédients principaux.

Le Poulet au Maroilles :

Le poulet au maroilles est un plat traditionnel du nord qui est réalisé avec deux spécialités de la région. Il s’agit du poulet de licques et du fromage maroilles. Très facile à préparer, ce pur délice du nord ne nécessite que 40 minutes de préparation et de cuisson. Il en existe de nombreuses variantes suivant les ingrédients utilisés.

volaille de licques

La dinde de Licques au marron :

Ce mets est un plat complètement réinventé par l’un des meilleurs chefs de la région Nord–Pas-de-Calais. Il a été proposé à l’origine pour les repas de Noël. Cette recette rappelle le plat traditionnel de la région lors de la veille de la fête de Noël. Voici les principaux ingrédients : une dinde de 4 kg, 40 g de beurre, 200 g de lardons maigres, 200 g de viande de porc, 100 g de panne de porc, 1 pomme acide, 20 pièces de gros marrons, 10 cl d’huile d’arachide, du poivre et du sel. La difficulté de réalisation de la dinde de licques au marron est de niveau moyen. Il faut 80 minutes pour la préparation et la cuisson.

Pour plus de détails, découvrez toutes les produits du terroir sur le site Les Hauts Délices.

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Nouveauté : les cuiseurs sous vide au peigne fin

Dans la ligne de mire des amateurs de cuisine modernes, la cuisine sous vide devient l’un des sujets les plus discutés dans ce microcosme. Sautant sur l’occasion, les fabricants de cuiseurs sous vide et de thermoplongeurs sont des plus productifs, en participant à la diversification du marché. Mais y a-t-il vraiment de la diversité, ou a-t-on affaire aux mêmes produits finement modifiés pour tromper l’œil ? Comment faire le tri et choisir le cuiseur basse température parfait parmi les nouveautés ?

Qu’est-ce qu’un bon cuiseur sous vide ?

Il existe une multitude de thermoplongeurs et de cuiseurs sous vide que leurs fabricants respectifs estiment être parmi les meilleurs. Mais de manière générale, le bon cuiseur à basse température est celui qui répond efficacement à ses besoins et ses préférences en matière de cuisson sous vide. Il faut trier sur le volet sur la base de quelques critères.

Le cuiseur sous vide le plus efficace

On ne peut que visualiser l’efficacité de l’appareil en considérant d’autres facteurs que la puissance uniquement. En effet, si la rapidité de chauffe induite est souvent essentielle, encore faut-il s’assurer que la chaleur générée soit stable. Il faut dans ce cas se tourner vers des modèles qui ont un système de circulateur thermique assurant cet effet. Ensuite, la gamme de température ainsi que la plage de temps de cuisson sont idéalement larges, pour assurer la cuisson d’une bonne variété d’aliments.

Un cuiseur basse température confortable et pratique

Même si les dispositifs de cuisson sous vide permettent presque tous de s’atteler à d’autres tâches, rien ne vaut un cuiseur tout-en-un ou un thermoplongeur agréable à utiliser. Ainsi, en dehors de la présence d’un programmateur ou encore d’un capteur de température, évitant de toucher à l’appareil pendant la cuisson, on peut aussi tabler sur le caractère sécuritaire du cuiseur. Il faut aussi regarder quelques aspects comme : l’entretien, le rangement, etc.

Un cuiseur sous vide au prix approprié

La plupart des cuiseurs sous vide proposés sur le marché présentent des tarifs plus ou moins équilibrés. Il est néanmoins possible de se trouver nez à nez avec un produit à bas prix, aux qualités attendues. Mais l’important est de choisir l’appareil qui sied à ses habitudes, qu’il s’agisse d’un modèle d’entrée de gamme ou du nec plus ultra.

Cuiseur sous vide : le design importe-t-il ?

Le style esthétique professionnel des cuiseurs sous vide peut déterminer leur efficacité. Cela n’empêche que l’on recherche des modèles aux aspects plus recherchés pour cadrer avec un design, une couleur ou un environnement d’intérieur spécifique.

Où trouver et commander son cuiseur à basse température ?

Une recherche à travers les moteurs de recherche peut être fructueuse quand on sait vers quel type de produits s’orienter. Mais sachant que la cuisson sous vide est encore peu en vogue, et que la pratique du procédé est encore limitée, il vaut mieux s’offrir l’aide de spécialistes. Sur www.cuiseur.sous-vide.fr par exemple, les amateurs de cuisine peuvent bénéficier de nombreux conseils et des guides dans leur choix du thermoplongeur ou du cuiseur basse température parfait.

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Des experts culinaires prédisent l’avenir de l’alimentation

Cuisiner à la maison, la durabilité et le bien-être au menu pour 2020
Des experts culinaires prédisent l’avenir de l’alimentation

Plus de cuisine maison, moins de déchets alimentaires, des saveurs d’Afrique de l’Est et la fin du moment du chou-fleur sous les projecteurs sont quelques-unes des prévisions pour 2020 qui ont émergé lors du cinquième événement annuel The Next Big Bite trends présenté par les Dames d’Escoffier New York (LDNY).

LDNY est une organisation culinaire de femmes invitées dont les membres sont des chefs de file dans leur domaine et dont la mission principale est l’éducation, la défense des droits et la philanthropie en matière d’alimentation, de boissons fines et d’accueil.

L’événement de collecte de fonds, qui a eu lieu le 15 octobre au Redeemer W83 Center à New York, a réuni un panel d’étoiles montantes et de grands noms du monde culinaire qui ont partagé leurs points de vue sur ce que nous allons cuisiner, manger, boire et avoir envie l’année prochaine.

Les panélistes comprenaient Justin Chapple, directeur culinaire de Food & Wine, Jake Cohen, directeur de la rédaction et de la cuisine d’essai d’aliments pour animaux, Gaby Dalkin, créatrice du site Web What’s Gaby Cooking, Cassy Joy Garcia, consultante en nutrition et créatrice du blog et podcast Fed + Fit, Vallery Lomas, avocat devenu blogueur boulangère et gagnant de la troisième saison ABC du The Great American Baking Show et Megan Scott, membre de l’équipe derrière cette nouvelle édition du Joy of Cooking.

Sarah Carey, directrice de la rédaction, Nourriture et divertissement, pour Martha Stewart Living, a agi comme modératrice. Le discours d’ouverture a été prononcé par Deb Perelman, cuisinière autodidacte et créatrice du très populaire blog de cuisine Smitten Kitchen. Jessica B. Harris, historienne et oratrice culinaire de renom, a présenté le discours de clôture.

Mme Perelman a dit que sa vision pour 2020 n’est pas guidée par le prochain grand objectif. Au lieu de cela, comme beaucoup de cuisiniers jonglant entre le travail et la famille, elle  » cherche simplement ma nouvelle chose préférée à cuisiner « . Et, espérons-le, à temps pour le dîner. »

Néanmoins, Perelman prédit des changements dans les habitudes alimentaires. Les gens cuisineront et se divertiront davantage à la maison dans l’incertitude économique et politique, et seront plus habiles à préparer des repas grâce à la richesse de l’information disponible. « Ils cuisineront comme une pause des nouvelles », dit-elle.

Dans un contexte d’évolution des goûts et des préoccupations concernant le bien-être et l’environnement, les panélistes ont convenu que l’intérêt pour la cuisine – et les livres de recettes – restera fort. « De plus en plus de gens veulent apprendre « , dit Chapple, qui a noté que beaucoup de gens qui achètent ses propres livres de cuisine le font pour les enfants.

Garcia, qui a construit une forte audience en ligne sur différentes plateformes, a déclaré que les livres de cuisine donnent quelque chose de tangible à son public. « C’est un point de contact très important pour les gens quand on est si numérique « , dit-elle.

Les panélistes ont partagé les tendances qu’ils souhaitaient voir disparaître : les légumes pour bébés, les modes alimentaires et nutritionnelles comme le céto et le paléo, associant cocktails et bienfaits pour la santé, et le charbon de bois dans les aliments comme les baguettes que Lomas a récemment découvertes lors d’un voyage à Paris. Mme Perelman a fait remarquer que son public de Smitten Kitchen s’intéresse de moins en moins aux versions chou-fleur d’articles comme le riz, la pizza et les gnocchis et d’autres articles à la mode comme les épices à la citrouille, le pain grillé à l’avocat, l’aquafaba, l’huile de truffe, le sel rose, les instapots et autres trousses repas.

Les panélistes ont indiqué que les tendances alimentaires à rechercher incluent les fruits de mer durables, les alternatives végétaliennes pour les ingrédients des recettes et plus d’intérêt pour les épices et l’acide.

Harris, qui a prononcé son discours d’ouverture par vidéo, prédit que nous verrons davantage de  » nouveaux aliments provenant de cultures inconnues et inexplorées, ou de cultures inexplorées « . Citons par exemple le fonio, un grain sans gluten du Sénégal assimilé à un croisement entre le quinoa et le couscous, les poivrons ahi du Pérou et de nouvelles variétés de riz et de légumes verts. Elle s’attend aussi à voir plus de nourriture d’Afrique de l’Est, y compris du Kenya, et de la nourriture caribéenne « allant au-delà de l’agneau, du riz et des pois » comme le callaloo et un ragoût de poivron « profond et richement assaisonné ».

« La nourriture, c’est la culture. Ce qui est dans notre assiette reflète souvent qui nous sommes. Au cours de l’année à venir, nous allons le servir et le savourer à sa juste valeur. Nous aurons besoin de ce réconfort parce que nous avons beaucoup de choses à faire « , a dit Harris.

The Next Big Bite a été sponsorisé par Kerrygold, Wolf Gourmet, Melitta, Hestan Culinary, Niman Ranch, Abigail Kirsch, Catskill Provisions, Ramona, Kris Wine, La Caravelle Champagne, Los Dos, New Belgium et Liberty Coca-Cola.

A propos des Dames d’Escoffier New York

Les Dames d’Escoffier est l’organisation prééminente des femmes leaders dans les domaines de l’alimentation, des boissons fines et de l’accueil. La section de New York (LDNY) est la plus importante des 42 sections fondées aux États-Unis et à l’étranger. Fondée en 1976 par Carol Brock (journaliste alimentaire du Sunday New York Daily News de l’époque), LDNY compte plus de 160 membres. Twitter et Instagram : @LesDamesNY ; Facebook : Les Dames d’Escoffier New York

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L’agriculture solidaire

Avez-vous déjà entendu parler de l’agriculture solidaire ? Plusieurs personnes ont peu ou pas d’idées sur ce qu’est vraiment l’agriculture solidaire. Encore appelée AMAP, l’agriculture solidaire renvoie à une coopération entre producteur et consommateur. En effet, chaque consommateur prend lui-même l’initiative de payer à l’avance pour des produits alimentaires que l’agriculteur lui livrera plus tard. Cette forme d’agriculture repose sur la solidarité et la confiance entre les différentes parties. Nous vous disons tout sur l’agriculture solidaire.

Historique de l’AMAP

Il était une fois dans les années soixante, le développement économique du Japon était au-delà de toute espérance. Cette croissance ne fut pas sans inquiétudes. En effet, les familles, conscientes de l’usage de produits chimiques se soucièrent de l’impact que cette agriculture industrielle aura sur leur santé. Elles avaient raison, car cette forte production fut la cause des cas de maladie de Minamata, des terribles empoisonnements au mercure… 

C’est suite à cela que les Teikei, traduit par « engagement de coopération » en français, ont vu le jour. Il était question pour des consommateurs de financer la production agricole d’un agriculteur. En contrepartie, ils recevaient des denrées alimentaires dépourvues de produits chimiques. Guidées par les pensées de Rudolf Steiner, des expérimentations ont été lancées sur la base de ce principe à la même période en Allemagne et en Suisse. 

En mi-années 80, deux fondateurs de l’AMAP, le Suisse Jan Vander Tuin et l’allemand Traugher Groh se rendirent aux États-Unis et lancèrent la création des CSA. Cet archétype s’étendit en un clin d’œil aux États-Unis et en Europe en début 2000. 

De nos jours, l’AMAP est pratiquée dans le monde entier. En effet au niveau régional, les AMP ne cessent de se repartir en réseau, national et international. Depuis 2008, URGENCI symbolise les accords entre producteurs et clients. Retrouvez notre article sur les avantages d’une maison comtemporaine ici.

Pourquoi faire de l’agriculture solidaire ?

La première raison de se lancer dans l’agriculture solaire c’est d’abord parce qu’elle garantit au consommateur, l’accès à des produits alimentaires bio. Si vous êtes agriculteur, cette forme d’agriculture vous permettra d’avoir des entrées sûres chaque année. Ainsi, vous pourrez mieux planifier votre production. En fait, l’engagement que ces derniers prennent est semblable à un partenariat gagnant-gagnant. 

Un autre avantage de l’agriculture solidaire est qu’elle favorise la production de denrées alimentaires saine et autonome. Par ailleurs, elle encourage une production plus diversifiée. En effet, l’agriculteur, voulant satisfaire le client, sera contraint de varier ses cultures. Elle permet aussi de consolider les liens entre les citoyens et leur région. 

Les différents types d’AMAP

L’AMP peut partir d’une communauté de consommateurs en quête d’un agriculteur prêt à produire pour leur compte. L’initiative peut aussi découler d’un producteur. Dans ce cas, il devra rechercher et convaincre des consommateurs à adopter son idée. Peu importe l’instigateur, les AMP varient selon les régions et leurs occupants.  

Il peut arriver que dans une AMP, la production d’un ou maints producteurs soit destinée à une communauté de clients ayant pris part aux travaux champêtres. Il existe aussi des AMP dont les membres sont en même temps producteurs et consommateurs. Peu importe le type d’AMP, le principe est le même : la solidarité.

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Que choisir comme blender chauffant ?

Ne pas posséder un blender chauffant, c’est passer à côté d’une belle occasion de pouvoir se passer de la mal bouffe par des plats Mac Do, pleins de conservateurs et pas très appétissants. En effet, les recettes cuisinées avec les blenders chauffants, sont saines, car les vitamines et les éléments nutritifs sont conservés par la mode de cuisson, incitent l’appétit, car les goûts sont personnalisables et peuvent être consommées, immédiatement préparées  (chaleur, fraicheur restées intactes). Alors rattrapez le temps perdu, et procurez-vous vite un blender chauffant, comme font la majorité des ménages français. Quant à la réponse à « que choisir comme blender chauffant », inspirez-vous de ses quelques lignes pour orienter votre choix.

Les points forts à rechercher chez un blender chauffant

Un blender chauffant, choisi selon des caractéristiques répondent à vos exigences vous rendra un grand service au quotidien et vous n’aurez aucun regret pour ce que vous avez investi avec. La puissance du moteur faisant fonctionner l’appareil sera le premier point à considérer. Pour des besoins minimes et des plats de base, la résistance minimale de 300w peut vous convenir.

Pour une utilisation plus régulière et des tâches plus importantes et variées, privilégiez la  puissance avoisinant les 500W. Sachez que la puissance proposée peut atteindre plus de 1200 W et c’est elle qui conditionne la vitesse des lames lors du découpage ou du mixage des aliments, autrement dit, la rapidité et la qualité (texture par exemple)de la préparation.  Quant à la puissance de la résistance ou puissance de chauffe, elle assure la cuisson.  Une valeur comprise entre les valeurs limite de 800 et 1000W fera très bien l’affaire. Ensuite viennent la capacité du bol. Pour un célibataire, un récipient à capacité utile de 1l lui convient, pour 4 personnes celle de 1,2l et pour une famille nombreuse la capacité maximale de 2l est conseillée. Suit la robustesse de l’appareil, elle concerne le plus souvent le matériau de fabrication.

L’inox s’avère être le plus résistant suivi du verre et du plastique.  Enfin vient la sécurité lors de l’utilisation et le nettoyage. Le blender chauffant avec socle mini de ventouses inclue la sécurité optimale et celui à bol démontable et lames démontables, le plus facile  à nettoyer, celui à poignée isolante, le moins dangereux.

Les autres points à prendre en compte

Les autres points, comme les fonctionnalités « vapeur et ébullition » et panier avec, « pulse » pour optimiser la vitesse de rotation des lames pour réussir des émulsions, la fonction autonettoyante, le départ différé, sont intéressantes chez un blender chauffant mais l’appropriation va dépendre de votre budget.

Le choix concernant le design dont les couleurs et l’aspect ainsi que pour le gabarit, sont en général des questions de goût. Il en est de même de la mode de programmation du robot mixer chauffant (automatique ou manuelle ou les deux à la fois).